Notre histoire

Mes premiers pas dans la course à pied
En janvier 2024, j’ai décidé de me lancer un défi : courir mon premier 10 km en février et participer à mon tout premier triathlon, celui d’Annecy, en juin.
Pour être honnête… au début, je n’aimais pas courir.
À chaque sortie, je me demandais pourquoi je m’infligeais ça.
Mais j’ai persisté.
Course après course, j’ai commencé à ressentir cette satisfaction unique : celle de se dépasser et de progresser.
En février, j’ai pris le départ de mon premier 10 km.
Je me souviens encore de la nervosité au départ et de la joie à l’arrivée : 48 minutes et 6 secondes.
Un chrono dont j’étais fier… mais qui m’a donné envie d’aller encore plus loin.

Le déclic - 10K Adidas Paris
Pour me préparer au triathlon d’Annecy, je me suis inscrit au 10K Adidas Paris 2024, cette fois avec des amis.
L’ambiance, l’énergie de la foule, la pression du chrono… ce jour-là, j’ai tout donné.
Quand j’ai franchi la ligne et vu 42:53 s’afficher, j’ai ressenti une fierté immense.
C’était la meilleure performance de ma vie sportive.
Mais en regardant la médaille en bois qu’on nous avait remise, je me suis dit : "Ce n’est pas suffisant pour raconter ce moment."
Cette course représentait bien plus qu’un simple chrono.
Elle symbolisait des mois d’entraînement, de doutes et de dépassement de soi.
Je voulais garder une trace unique et personnelle de cet exploit.

La naissance du projet
Alors, j’ai eu une idée : créer une affiche personnalisée retraçant le parcours exact de ma course et ce chrono qui signifiait tant pour moi.
Quand mes amis, avec qui j’avais couru ce 10K, ont vu mon affiche, ils ont adoré.
Je leur en ai donc fait une, à chacun.
Leurs réactions m’ont fait comprendre quelque chose d’important : "Je n’étais pas le seul à vouloir immortaliser ces moments uniques."
C’est à ce moment précis que mon projet est né.
Aujourd’hui, mes affiches permettent à des passionnés de course à pied, de trail et de triathlon d’immortaliser leurs exploits et de revivre, chaque jour, les émotions de leurs courses.
Parce qu’une médaille finit souvent au fond d’un tiroir, mais une histoire mérite d’être racontée.